Comment savoir si la climatisation consomme beaucoup ?
Consommation Écogestes

Comment savoir si la climatisation consomme beaucoup ?

Publié le 22 juillet 2024

Entre confort thermique et facture énergétique, la consommation d’une climatisation soulève bien des questions. En été, elle peut faire grimper votre facture. Pourtant, avec les bons gestes et un peu de méthode, il est tout à fait possible de concilier fraîcheur et sobriété énergétique.

Dans cet article, on vous explique quelle est la consommation réelle d’une climatisation. On détaille aussi ce qui influence cette consommation, et surtout comment l’optimiser pour garder la tête froide… Sans faire chauffer le compteur.

Avant de chercher à réduire la consommation de votre climatiseur, encore faut-il comprendre comment il fonctionne. Bonne nouvelle : c’est moins compliqué qu’il n’y paraît. Et surtout, c’est essentiel pour mieux agir sur vos usages.

Comment fonctionne votre climatisation ?

Contrairement à un simple ventilateur qui se contente de brasser l’air, la climatisation refroidit réellement l’air ambiant. Elle utilise un fluide frigorigène qui circule en boucle dans l’appareil. Ce fluide change d’état au fil du cycle. Un peu comme un frigo… mais pour vos pièces à vivre !

Voici les étapes clés du fonctionnement d’un climatiseur :

Étape Description
1. Aspiration des calories L’évaporateur, situé à l’intérieur, aspire les calories (chaleur) présentes dans l’air ambiant.
2. Chauffage du fluide Le fluide frigorigène absorbe cette chaleur, ce qui le fait passer à l’état gazeux.
3. Compression Le gaz chaud est compressé par le compresseur, ce qui augmente sa pression et sa température.
4. Condensation Le gaz surchauffé arrive au condenseur (à l’extérieur), où un ventilateur évacue la chaleur. Le gaz redevient liquide.
5. Détente Le fluide liquide passe par le détendeur, ce qui réduit sa pression et le refroidit davantage.
6. Refroidissement de l’air Le fluide refroidi retourne à l’évaporateur. L’air ambiant se rafraîchit à son contact et est soufflé dans la pièce par un ventilateur.
7. Reprise du cycle Le processus recommence en continu pour maintenir une température agréable dans la pièce.

Bien choisir son type de climatisation pour limiter sa consommation

Le choix du système de climatisation est important pour maîtriser la consommation énergétique et réduire les coûts. Voici un aperçu des deux grands types de climatiseurs disponibles sur le marché français : 

1. Les climatiseurs monoblocs

Le climatiseur monobloc, comme son nom l’indique, regroupe tout le système dans un seul appareil intérieur. Sans unité extérieure séparée, il est apprécié pour sa simplicité et sa mobilité.

Fonctionnement climatisation monobloc

Pourquoi ce choix ?

Grâce à sa conception compacte, le monobloc peut être déplacé d’une pièce à l’autre sans difficulté, ce qui en fait une solution pratique pour un rafraîchissement ponctuel ou saisonnier. Son tuyau d’évacuation d’air chaud s’installe simplement via une fenêtre ou une ouverture vers l’extérieur.

Attention toutefois aux limites :
Les climatiseurs monoblocs sont conçus pour des espaces restreints — généralement entre 10 et 25 m² — et leur niveau sonore est souvent plus élevé que celui des systèmes split. Leur efficacité est donc limitée sur de plus grandes surfaces ou pour un usage intensif.

Monobloc fixe ou mobile : quel modèle choisir ?

  • Le monobloc fixe est installé sur un mur, souvent en hauteur, avec un ou deux trous pour évacuer la chaleur vers l’extérieur. Ce modèle, bien que demandant un peu plus d’installation, offre un usage quotidien plus stable ;
  • Le monobloc mobile, quant à lui, repose sur une base roulante, facile à déplacer. Il doit cependant rester près d’une fenêtre ou porte ouverte pour permettre l’évacuation de l’air chaud via une gaine flexible. Ce modèle convient bien aux besoins temporaires mais peut être énergivore.
Avantages Inconvénients
Installation simple et rapide, sans travaux lourds Moins performant pour refroidir de grandes surfaces
Coût d’achat et d’installation généralement plus faible Niveau sonore élevé, car tout est dans un seul bloc
Mobilité : certains modèles sont facilement déplaçables Nécessite une évacuation d’air chaud via une gaine souvent peu esthétique
Solution d’appoint idéale pour une pièce unique ou un usage ponctuel Consommation énergétique souvent plus élevée que les splits

2. Les climatiseurs splits

Quand on parle de climatisation performante, le terme « split » revient souvent. En anglais, split signifie « divisé », et c’est précisément ce qui caractérise ce système : il est composé de plusieurs unités distinctes, réparties entre l’intérieur et l’extérieur de votre logement. Cette architecture spécifique lui confère des avantages énergétiques et pratiques importants.

Comment fonctionne un climatiseur split ?

Un climatiseur split se compose d’une unité extérieure, installée à l’air libre, qui expulse la chaleur de votre logement, et d’une ou plusieurs unités intérieures qui diffusent l’air frais. Le fluide frigorigène circule entre ces éléments, captant la chaleur intérieure pour la rejeter à l’extérieur, offrant ainsi un rafraîchissement efficace et rapide. La plupart des modèles sont réversibles, ce qui signifie qu’ils peuvent aussi chauffer votre intérieur en hiver, à l’image d’une pompe à chaleur air-air.

Fonctionnement climatisation split

Monosplit ou multisplit ?

Le monosplit associe une unité extérieure à une seule unité intérieure. Il est idéal pour rafraîchir ou chauffer une pièce unique ou un petit espace. À l’inverse, le multisplit permet de connecter plusieurs unités intérieures à une même unité extérieure, pour climatiser plusieurs pièces indépendamment, avec une gestion personnalisée de la température pièce par pièce. Cette modularité est particulièrement adaptée aux logements plus vastes ou aux besoins variés.

Les différentes options et modèles

Les unités intérieures peuvent prendre différentes formes selon votre configuration et vos envies :

  • Climatiseur mural : Le plus répandu, il s’installe simplement en hauteur sur un mur. Discret et efficace, il s’intègre facilement à votre décoration ;
  • Climatiseur gainable : Totalement invisible, il est encastré dans un faux plafond ou sous les combles. Seules les grilles d’aération restent visibles, pour une intégration parfaite et un confort optimal ;
  • Climatiseur cassette : Placé au plafond, il convient parfaitement aux grandes pièces ou locaux commerciaux. Sa puissance permet de traiter efficacement de vastes surfaces tout en restant discret ;
  • Climatiseur split mobile : Rare et moins courant, il allie mobilité et principe split, mais reste énergivore et nécessite une évacuation vers l’extérieur.
Avantages Inconvénients
Très performant et adapté aux grandes surfaces Coût d’achat et d’installation plus élevé qu’un monobloc
Installation possible en multisplit, pour un contrôle précis de la température Installation technique, intervention d’un professionnel recommandée
Unité bruyante placée à l’extérieur, plus de confort sonore à l’intérieur L’unité extérieure peut gêner si mal positionnée (bruit, esthétique)
Nombreuses fonctionnalités : réversibilité, purification, domotique, programmation intelligente Certaines versions mobiles peu performantes et énergivores

Calculer la consommation d’une climatisation

La consommation d’un climatiseur peut varier considérablement en fonction du type, du modèle et de la puissance de l’appareil. Pour calculer la consommation de votre système, prenez papier, crayon et calculatrice et on vous explique tout.

Quelle est la formule pour calculer la consommation en kWh d’une climatisation ?

Pour comprendre comment votre climatiseur impacte vos factures d’électricité, il est essentiel de savoir comment calculer sa consommation énergétique. La formule de base pour déterminer cette consommation est la suivante :

Consommation (kWh) = Puissance de l’appareil (kW) x Nombre d’heures de climatisation 

Attention, lorsque l’on parle de puissance de l’appareil, on parle de la puissance du compresseur et non du climatiseur. Cette formule simple permet de quantifier l’énergie utilisée par votre climatiseur. Par exemple, pour une puissance de compresseur de 2 500 watts soit 2,5 kW et pour un fonctionnement de 5 heures par jour, la consommation quotidienne sera de : 2,5 kW x 5 h = 12,5 kWh.

Pour obtenir la consommation annuelle de votre climatiseur, il vous suffira ensuite de multiplier la consommation quotidienne par le nombre de jours de fonctionnement dans l’année. La formule serait donc :

Consommation annuelle (kWh) = Consommation journalière (kWh) x Nombre de jours de fonctionnement dans l’année

En reprenant l’exemple précédent d’une consommation de 12,5 kWh par jour, et considérant que le climatiseur fonctionne 150 jours par an, on arriverait à une consommation à l’année de :

12,5 kWh x 150 j = 1 875 kWh

Enfin, pour une estimation du coût énergétique de votre climatiseur, il vous suffira de multiplier sa consommation par le prix du kWh. Aussi, pour un tarif du TRV en août 2025 de 0,1952€ par kWh en option base, ce même système de climatisation qui consomme 1 875 kWh par an, vous coûtera :

1 875 kWh x 0,1952€ = 366€

Les facteurs qui influencent la consommation électrique d’une climatisation

Sur le papier, le calcul de la consommation d’un système de climatisation paraît simple. Pourtant, plusieurs facteurs peuvent venir influencer les résultats : 

La taille de la pièce

La taille de votre pièce est l’un des premiers éléments à prendre en compte. En effet, on estime généralement qu’il faut entre 100 et 130 watts par mètre carré pour climatiser efficacement un espace avec une hauteur sous plafond standard de 2,5 mètres. Plus la pièce est grande, plus la puissance nécessaire augmente, et donc la consommation aussi. Cela souligne l’importance de bien dimensionner votre climatisation, ni trop faible pour éviter de sursolliciter l’appareil, ni trop puissante pour ne pas gaspiller d’énergie inutilement.

L’isolation

Ensuite, l’isolation thermique de votre logement joue un rôle déterminant. Une pièce bien isolée conserve mieux la fraîcheur, ce qui limite la durée et l’intensité du fonctionnement de la climatisation. À l’inverse, une mauvaise isolation — fenêtres simples vitrages, murs peu isolés, infiltrations d’air — oblige votre climatiseur à travailler plus longtemps pour maintenir une température agréable. Résultat : une consommation énergétique plus élevée et une usure accélérée de votre équipement.

La température de consigne

La température à laquelle vous réglez votre climatiseur joue sur sa consommation. Plus vous demandez une température basse, plus l’appareil doit fournir un effort important pour atteindre cet objectif. Par exemple, régler votre climatisation à 18 °C au lieu de 24 °C augmentera significativement la consommation d’énergie. Pour limiter les coûts tout en restant confortable, il est conseillé de viser une température raisonnable, autour de 24 à 26 °C en été.

Les classes énergétiques des climatiseurs

Au-delà des facteurs liés à l’environnement ou à l’utilisation, la performance énergétique intrinsèque de votre climatiseur joue un rôle majeur dans votre facture électrique. En 2025, les réglementations européennes imposent des standards énergétiques plus stricts pour les appareils de climatisation. Chaque climatiseur est désormais classé selon une échelle allant de A+++ (très performant) à D (moins efficient).

Cette classification se base sur le coefficient de performance énergétique (EER pour le refroidissement, COP pour le chauffage) et la consommation en kWh pour une puissance donnée. Opter pour un climatiseur classé A+ ou mieux, vous garantit non seulement un appareil plus respectueux de l’environnement, mais aussi un réel gain financier sur le long terme.

Astuces pour réduire la consommation d’électricité liée à la climatisation

Pour maximiser l’efficacité et réduire les coûts de votre climatiseur, il est possible de mettre en place des stratégies pour consommer moins.

Opter pour une climatisation réversible pour réduire votre consommation

Les climatiseurs réversibles, également connus sous le nom de pompes à chaleur air-air sont des solutions particulièrement efficaces pour économiser l’électricité. Ces appareils sont capables de servir à la fois de système de chauffage et de refroidissement, en utilisant une source d’énergie renouvelable : l’air. Ils fonctionnent en transférant la chaleur de l’intérieur vers l’extérieur en été et de l’extérieur vers l’intérieur en hiver. Ils peuvent prendre la forme de splits, de consoles murales ou de climatisation gainable. Ce type de clim, extrêmement efficace, permet de produire 3 à 4 kWh d’énergie thermique pour chaque kWh d’électricité consommé. La clim réversible produit ainsi plus d’énergie qu’elle en consomme. Cela n’est pas le cas d’un chauffage classique qui en consomme autant qu’il en produit. Cette efficacité énergétique remarquable contribue non seulement à réduire les coûts énergétiques, mais aussi à diminuer l’empreinte carbone de votre foyer​​​​.

Choisir l’emplacement optimal pour l’unité extérieure d’une climatisation split

Lors de l’installation d’une climatisation split, qui comprend une ou plusieurs unités intérieures et une unité extérieure, il est primordial de bien choisir l’emplacement de cette dernière. L’unité extérieure abrite des composants essentiels tels que le compresseur, le condenseur et le détendeur. Pour assurer leur protection, elle doit être placée à l’abri des intempéries, notamment du soleil direct, des vents forts et de l’humidité excessive.

Il est également important de garantir une bonne circulation de l’air autour de l’unité extérieure. Assurez-vous de dégager tout obstacle qui pourrait entraver l’évacuation de l’air chaud, comme la végétation, les objets ou les structures environnantes. Évitez aussi d’installer un condenseur trop près d’un autre appareil pour prévenir l’absorption et le traitement de l’air chaud émis par celui-ci. Cela pourrait rendre son fonctionnement plus difficile et augmenter sa consommation d’énergie.

Choisir un bon emplacement pour les unités intérieures

Pour une climatisation efficace, placez les unités intérieures stratégiquement. Évitez les vérandas ou les pièces avec de grandes baies vitrées ensoleillées, car l’air rafraîchi serait réchauffé instantanément. De même, ne les mettez pas en place dans des pièces dont les portes s’ouvrent fréquemment sur l’extérieur, pour empêcher l’air frais de s’échapper. La cuisine n’est pas non plus une bonne idée en raison de la graisse et des vapeurs qui pourraient obstruer les filtres et réduire la durée de vie de l’appareil. Installez plutôt les unités dans les pièces de vie ou les chambres, loin des sources de chaleur, en hauteur et dans des espaces dégagés pour une circulation optimale de l’air.

Régler son climatiseur à la bonne température

Pour optimiser la consommation énergétique de votre climatiseur, il est crucial de le régler à la bonne température. L’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie) recommande de n’allumer son climatiseur que lorsque la température intérieure dépasse les 26 °C. De plus, la température de consigne ne devrait pas être inférieure de plus de 5 à 7 °C par rapport à la température extérieure. Par exemple, si la température extérieure est de 30 °C, la température intérieure ne devrait pas être réglée en dessous de 24 °C. Cela permet d’éviter un choc thermique avec l’extérieur tout en réduisant significativement la consommation d’énergie.

Piloter la climatisation à distance avec des outils connectés

Les avancées technologiques permettent désormais un contrôle précis et à distance de votre système de climatisation grâce à des applications mobiles ou des thermostats intelligents. Ces outils offrent la possibilité de programmer les cycles de fonctionnement de votre climatiseur en fonction de votre emploi du temps, optimisant ainsi l’utilisation de l’énergie. Par exemple, vous pouvez régler votre climatiseur pour qu’il se mette en marche peu avant votre retour à la maison et s’éteigne dès que vous partez ou la nuit quand la clim peut s’avérer moins nécessaire. De plus, ces systèmes intelligents peuvent ajuster automatiquement la température en fonction de l’occupation des pièces, garantissant ainsi que la climatisation fonctionne uniquement lorsque cela est nécessaire. Cette gestion fine réduit significativement la consommation d’énergie et, par conséquent, vos factures.

Consommation climatisation split

Renforcer l’isolation de votre logement pour climatiser moins

L’efficacité de votre système de climatisation est largement influencée par la qualité de l’isolation thermique de votre logement. Une bonne isolation permet de réduire les pertes de chaleur en hiver et de maintenir la fraîcheur en été, ce qui allège la charge de travail de votre climatiseur. Par exemple, l’ajout d’isolants dans les murs, les toits et les planchers, la chasse au ponts thermiques peuvent significativement améliorer l’efficacité énergétique de votre maison. Une isolation de qualité, c’est jusqu’à 5 °C de gagner à l’intérieur et aussi 20 % en moins sur vos factures d’énergies.

Pensez aussi à bien fermer portes et fenêtres pour éviter que la chaleur ou le froid ne rentre. Consulter notre article sur des écogestes simples pour améliorer votre confort et votre budget global d’électricité.

Entretien et maintenance : les bons gestes pour consommer moins

Entretenir sa climatisation est la condition sine qua non pour maintenir l’efficacité énergétique de son système, mais aussi assurer sa longévité.

Nettoyage des filtres : maintenir l’efficacité du système

L’une des tâches les plus importantes est le nettoyage ou le remplacement des filtres. Des filtres propres permettent une meilleure circulation de l’air, ce qui réduit la charge sur le système et, par conséquent, diminue la consommation énergétique. Lorsque les filtres sont obstrués par la poussière et les débris, le climatiseur doit travailler plus fort pour aspirer l’air. Ceci augmente sa consommation d’énergie et peut réduire sa durée de vie. Pour maintenir une efficacité optimale, il est recommandé de nettoyer ou de remplacer les filtres tous les 1 à 3 mois, selon l’utilisation et la qualité de l’air​​​​.

Contrôle de l’étanchéité des conduits : prévention des fuites d’air

Il est également essentiel de vérifier l’étanchéité des conduits de climatisation pour éviter les fuites d’air, qui peuvent considérablement augmenter la consommation d’énergie. Les fuites dans les conduits obligent le climatiseur à fonctionner plus intensivement pour maintenir la température souhaitée, ce qui accroît la consommation énergétique et les coûts associés. Un contrôle régulier des conduits et la réparation des fuites éventuelles permettent de garantir que tout l’air refroidi ou chauffé est correctement distribué dans votre maison. Cette maintenance préventive aide à optimiser l’efficacité de votre système et à prolonger sa durée de vie​​​​. 

Quels que soient vos besoins, un projet d’installation de climatiseur ne s’improvise pas. Pour en tirer le meilleur parti, rapprochez-vous d’un professionnel certifié RGE. Ce dernier réalisera au préalable une étude de projet. En fonction de vos attentes, de la superficie de votre maison, du nombre de pièces, il saura vous conseiller la bonne puissance de climatisation. Il pourra aussi vous orienter vers des modèles de climatisation performants avec ou sans mode chauffage.

Réduire sa facture d’électricité : comparer les fournisseurs

Et dernier conseil pour faire baisser le coût de votre climatisation, n’hésitez pas à consulter les offres d’un autre fournisseur d’électricité comme la bellenergie par exemple. En plus d’économies, vous pourrez aussi penser à la planète grâce aux énergies renouvelables.

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